La FIFA a récemment dévoilé sa prestigieuse liste des nominés pour le onze type de l’année, où Pierre-Emerick Aubameyang figure en bonne place. Ce choix confirme, une fois de plus, le talent et l’impact international de l’attaquant gabonais. Pourtant, un fait surprenant soulève des interrogations : pourquoi la Confédération africaine de football (CAF) n’a-t-elle pas inclus Aubameyang sur sa liste des meilleurs joueurs africains pour le Ballon d’Or africain ?
Cette absence suscite des débats et met en lumière une apparente incohérence entre les critères de sélection des deux instances. Alors que la FIFA salue les performances d’Aubameyang sur la scène mondiale, la CAF semble ignorer ses récents exploits. Ce décalage invite à une réflexion sur la méthodologie de sélection de la CAF, souvent critiquée pour son manque de transparence et d’objectivité.
Il est peut-être temps pour les instances du football africain de réévaluer leurs processus et de mieux reconnaître les contributions des joueurs qui brillent non seulement en Afrique, mais également sur la scène internationale. Ignorer des figures emblématiques comme Aubameyang risque de ternir la crédibilité de telles distinctions et de frustrer les fans, qui attendent une reconnaissance équitable des talents du continent.